Pendant des décennies, l’urbanisme a privilégié les transports automobiles individuels et développé l’étalement urbain sans se soucier une seconde des questions d’économies d’énergie et de matériaux sains. Aujourd’hui, la récente prise en compte du facteur environnemental conjugué aux progrès en matière d’énergies renouvelables, permet d’inverser la tendance et d’envisager différemment la notion du logement et de l’habitat.
À l’heure où la moitié de la population mondiale vit dans de grandes agglomérations, (une proportion qui devrait atteindre 70% d’ici 2050), il est urgent de réfléchir et d’infléchir une production sans qualité réalisée à un rythme frénétique. Car s’il est de mise de l’associer à la croissance - euphorie financière illustrée par le fameux « quand le bâtiment va, tout va » - le secteur du bâtiment, de la promotion immobilière et des travaux publics (BTP) de par la consommation de ressources naturelles qu’il implique et des déchets qu’il induit, outre des dégâts sanitaires collatéraux, pèse lourdement dans la balance environnementale et son corollaire, le réchauffement climatique.
Les déchets du BTP, qui émanent aussi bien de la démolition que de la construction immobilière, sont des déchets issus, sans faire de distinguo, des chantiers publics ou privés. Que ce soit dans le choix du neuf ou de l'existant, de la réhabilitation d’une maison à la construction d’un pont, d’un immeuble ou d’une autoroute, à chaque chantier son lot de gravats et de déchets.
En matière de répartition, l’industrie du bâtiment est une grosse productrice de :
Aujourd’hui, on considère que la construction représente plus de 40% des émissions de gaz à effet de serre à l’échelle mondiale. Selon le site Planetoscope.com qui traite de la vie de la planète à travers l’immensité des statistiques mondiales et de leur évolution, les déchets du BTP sont estimés à 10 780 kilos par seconde, soit 340 millions de tonnes par an, dont une partie significative finit en décharge illégale.
Dans la balance de la production de déchets, les chiffres du BTP donne le tournis. En 2012, ce secteur a généré 247 millions de tonnes de déchets rien qu’en France, dont 31 millions de tonnes par an pour la production de déchets émanant de la construction de bâtiments. Une donnée à laquelle il faut rajouter une partie des déchets des ménages issus de l’activité de bricolage et on mesure l’étendue des dégâts.
Toutefois, une enquête récente réalisée par le Ministère de l'Environnement, de l'Energie et de la Mer en charge des Relations Internationales sur le Climat fait mention de 227,5 millions de tonnes de déchets produits en 2014 par les entreprises du BTP, soit 10 % de déchets en moins par rapport à 2008. Une diminution à imputer à la baisse d'activité survenue au cours de la même période.
Il n'empêche, même si la valorisation des déchets augmente sur les chantiers, il reste encore beaucoup, beaucoup à faire.
La construction et le BTP, une énorme source de déchets - Photo Zero Waste France.
Il est bien loin le temps où les lieux d’habitation s’implantaient à proximité des sources d’énergie qu’étaient l’eau et la forêt. Le charbon et le pétrole ont changé la donne. Sources d’énergie bon marché et abondante, ils ont, grâce à la voiture abolissant les distances entre lieu de travail et lieu de vie, modifié de ce fait le rapport au territoire.
Une situation dispendieuse avec un gros gaspillage à la clef qui pèse de plus en plus lourdement tant économiquement qu’écologiquement, tant individuellement que collectivement, pour des ressources dont nous préférons ignorer l’origine et surtout les limites.
Pourtant, il est deux ou trois petites choses dont il va nous falloir tenir compte dans les années à venir :
Autant d’enjeux qui nous incitent à penser « autrement » les lieux dans lesquels les 3/4 de l’humanité vivent et qui porte un seul nom : la ville.
Augmentation pléthorique des déchets, disparition de la nature et des écosystèmes, dilution du lien social… face à une réalité des plus préoccupantes pour peu qu’on la regarde en face, une prise de conscience commence toutefois à s’imposer en France avec la notion de « ville durable » qui, sous l’impulsion du Grenelle de l’environnement a favorisé la conception d’écoquartiers.
La réalisation de cette nouvelle vision d’aménager l’espace urbain étant l’occasion, tant pour les professionnels de la construction et de la promotion immobilière que pour les élus et les citoyens de s’adapter aux nouvelles exigences en matière d’économies d’énergie et de virage sociétal à opérer. L’occasion en construisant du neuf, de respecter les principes du développement durable (« sustainable development » en anglais, qui plus que de durable parle de soutenable) dont la feuille de route est de répondre aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs.
Vaste programme !
Son préfixe « éco » est le même que celui du mot écologie (du grec oikos : maison et logos : science) dont l’étymologie le définit comme la science de la maison.
On pourrait ainsi présenter la notion d’« écoquartier » comme un espace dans la ville, différent parce qu'exigeant, imaginé pour préserver et valoriser l’environnement dans lequel il se dresse, limiter la consommation en énergie et les rejets en gaz à effet de serre … La préservation de la planète et de ses ressources étant un de ses objectifs premiers.
Toutefois, si un écoquartier applique les principes du développement durable et met l’accent sur les économies d’énergie, il allie également dans une même dynamique les piliers sociétaux, économique et environnemental, avec en ligne de mire : le respect des générations futures.
Evolution et vision globale d'un "vrai" ecoquartier.
Dans une vision globale, il a pour vocation d’être ouvert sur son environnement urbain et place au centre du projet les questions d’écologie, de solidarité et de participation des citoyens.
Les écoquartiers représentent en effet la possibilité de reconsidérer le tissu urbain, afin de déboucher sur une certaine harmonie sociale qu’on ne trouvera pas dans un quartier standard. Une harmonie favorisée par le contexte global et le caractère naturel et sain de ce type d’espace et d’habitat (utilisation de matériaux naturels, espaces verts prépondérants dans l’aménagement du projet, mutualisation de certains biens et services…).
Dans la ville d’aujourd’hui et de demain, le renforcement du lien social et la création d’un espace public de proximité sont des questions de premier ordre. En donnant aux habitants la possibilité de participer activement à la construction, à l’aménagement et à la gestion de leur quartier, et par la présence de lieux et d’activités favorisant la rencontre avec l’autre, l’écoquartier est à-même d’apporter des réponses innovantes encourageant le « vivre ensemble » fondé sur le respect et la coopération.
Ce sont les Allemands qui les premiers ont engagé une réflexion sur les énergies alternatives. Une démarche qu’ils concrétiseront au début des années 90 dans le sud du pays, à Fribourg-en-Brisgau, une ville de casernes occupée par les soldats français depuis la Seconde Guerre mondiale jusqu’à la chute du mur de Berlin, en 1989.
Après avoir récupéré les bâtiments militaires, la ville y construira deux écoquartiers pionniers : Vauban et Rieselfeld où près de 15 000 habitants expérimenteront un mode de vie dans un espace organisé selon quelques principes révolutionnaires pour l’époque : habitats à basse consommation, cogénération, récupération des eaux de pluie, priorités aux transports en commun, aux piétons et aux cyclistes … .
Tous les appartements sont différents et répondent aux goûts et aux couleurs de leurs occupants. Un grand consensus s’est établi dans les choix qui relèvent des parties communes.
Ces projets étant également le fruit d’une nouvelle façon de concevoir l’urbanisme et la gouvernance dans la mesure où les habitants ont été associés aux décisions tout au long du processus. Une démarche qui donnera le jour au concept des Baugruppen, habitat groupé en autopromotion où les particuliers construisent collectivement leur logement avec l’aide d’un architecte, sans passer par un promoteur.
Les futurs propriétaires s’investissent ainsi dans leur projet prenant en charge certaines démarches administratives, tout en étant supervisés par le cabinet d’architecte choisi. Au final, l’immeuble est vraiment celui que ses occupants ont imaginé et coûte 15 à 25 % moins cher que la réalisation d’un promoteur.
Lotissement solaire, écoquartier Vauban à Freibourg (Allemagne), Elly-Heuss-Knapp-Straße.
Mixité sociale, écologie et économie de l écoquartier Vauban par rapport à un quartier standart.
Jusqu’au milieu des années 1990 aucun promoteur ne voulait investir à Rieselfeld, quartier signifiant champ d’épandage sur lequel furent rejetées pendant plus de cent ans les eaux usées de la partie sud-ouest de Fribourg.
Ce sont les premières Baugruppen mises en place qui décideront les promoteurs à y venir, notamment grâce à des fonds pour le développement du logement social.
Infrastructures privées et publiques solidement intégrées dès le départ … espaces verts privés et publics de grande qualité, équipement pour les loisirs se rajoutent à la prise en compte d’objectifs écologiques tels que des constructions basse-énergie, des systèmes de chauffage urbain alimentés par cogénération = principe qui consiste à produire de l’énergie mécanique (convertie en électricité) et de la chaleur en même temps et dans une même installation et à partir d’une même source d’énergie (co = ensemble & génération = production).
Les gens qui ont acheté de l’immobilier à Vauban (tendance bobo) et Rieselfeld (foyers plus modestes) ont joué le jeu d’une expérimentation environnementale. Ils n’ont pas perdu au change d’avoir servi de cobayes puisqu’ils y restent séduits par la qualité d’une vie de banlieue de premier choix. Une vie où les bâtiments consomment au plus 65kWh/m2/an (un bâtiment construit avant 1975 consomme en moyenne entre 200 et 400 kilowattheures par mètre carré et par an) et où l’usage de la voiture est réduit. Un laboratoire qui pour inverser la suprématie du tout auto, privilégie l’humain dans l’espace urbain et valide un réel succès de développement durable.
Un beau clin d’oeil au pays des Mercedes et des autoroutes !
Un autre exemple d’efficacité énergétique, véritable leçon d’architecture bioclimatique moderne qui, à l’instar du quartier Vauban entraîne de nombreuses visites pour son exemplarité, est BedZED, Beddington Zero Energy Development. Le premier projet de grande envergure de ce type, construit au Royaume Uni.
Inauguré en 2002 à Beddington, dans le sud de Londres, cet écoquartier construit sur une friche industrielle, une ancienne centrale d’épuration dépolluée de 1,7 hectares, est composé d’une zone résidentielle de 82 appartements, mais aussi de 1600 m2 d’espaces de bureaux ainsi que d’une partie commerciale qui n’émettent pas de carbone.
Tom Chance from Peckham — flickr: BedZED BedZED eco-village, England.
Aussi dense que le quartier de Soho, le site a, dès l’origine été choisi pour sa facilité d’accès aux transports en commun. Préoccupés par les déplacements liés à la construction du site et pour les réduire, les concepteurs ont fait des recherches afin d’acheter le maximum de matériaux localement : 52 % proviennent d’un rayon de 50 kilomètres autour de Beddington.
Des structures de bois et de métal récupérés sur d’anciens chantiers locaux ont été utilisées. Une politique active a été menée afin de diminuer l’emprise automobile et augmenter la surface d’espaces verts, pour des occupants sensibles aux questions environnementales, quand d’autres découvrent ces thèmes et s’y adaptent.
D’autres exemples aussi aboutis en matière de cadre de vie, de gestion des énergies et de mixité sociale ont vu le jour. Si les Allemands et les Anglais ont été les fers de lance de cette démarche, nous pourrions aussi citer :
Voire encore plus loin, Sébénikoro 2000 à Bamako en Afrique ou Tian Fu New Area à Chengdu (Chine), car si l’Europe du Nord reste la championne en matière de développement durable, de comportements et d’habitats vertueux, des initiatives surgissent, même si isolément, ça et là un peu partout dans le monde.
Mais alors chez nous, qu’en est-il de cette mutation, de cette (r)évolution du logement, de cette façon innovante de concevoir l’habitat urbain ?
Longtemps à la traîne, la France, dans le sillage du Grenelle de l’environnement a établi une feuille de route pour qu' "au moins un écoquartier voit le jour dans toutes les communes dotées de programmes significatifs de développement de l’habitat ".
Les écoquartiers, comme leviers de la transition. L’invitation pour les collectivités locales, les associations et les entreprises, les acteurs publics et privés, sans oublier les réseaux citoyens, à relever le défi climatique
C’est à Paris, dans le cadre d’un programme d’urbanisation de 3,8 hectares lancé place de Rungis dans le sud du 13ème arrondissement, sur le terrain désaffecté d’un ancien site ferroviaire, que la Ville a réalisé un nouveau quartier dans le respect des principes du développement durable.
Un premier écoquartier, impulsé par un groupe d’habitants au début des années 2000 qui ont fait comprendre de façon pratique et pragmatique les enjeux d’une profonde réflexion sur l’énergie et les transports à de nombreux responsables locaux.
Gare de Rungis (Christine Baué/Direction de l’Urbanisme de la Ville de Paris et @Jacques Leroy/Mairie de Paris).
Désenclaver l’espace de la Gare de Rungis, relier les quartiers riverains, faciliter l’accès aux transports en commun ont été les défis aujourd’hui réalisés. Des rues traversantes, partiellement circulées et donc principalement piétonnes, relient le quartier nord de la Gare de Rungis aux quartiers sud, le long du boulevard Kellermann où circule le tramway. Les espaces publics participent activement aux liaisons transversales du quartier, en composant avec les dénivelés.
Aujourd’hui, Gare de Rungis, le premier éco-quartier parisien est terminé. Les premiers immeubles -la résidence étudiants/chercheurs et l’établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes- ont été livrés en 2012, la crèche en 2013, l’immeuble de bureaux et les logements familiaux et le centre social en 2014. C’est avec l’ouverture du jardin en février 2015 que se terminera l’aménagement de ce premier quartier parisien voulu comme une EcoZAC ou Zone d’Aménagement Concertée Ecologique.
Si tout ce que Les Amis de l’EcoZAC de la Place de Rungis, l’association qui s’étaient créée autour de responsables d’associations environnementales parisiennes, d’un spécialiste des questions énergétiques et de bénévoles du groupe parisien de Greenpeace, n’a pas été retenu, cette ZAC n’en demeure pas moins exemplaire.
L’action de ces motivés aura en outre préparé le terrain pour d’autres initiatives, la difficulté étant de combiner les ambitions et les objectifs escomptés des citoyens qui s’investissent, avec les intérêts des collectivités territoriales, des aménageurs et des promoteurs immobiliers qui, multipliant les propositions dans ce domaine, n’ont pas toujours les mêmes.
Pour favoriser l’émergence de nouvelles façons de concevoir, de gérer et de vivre au coeur de tous les territoires, l’État a dès 2008, lancé la démarche ÉcoQuartier, concrétisée en décembre 2012, par la création du label national ÉcoQuartier.
Projets d’extension ou de renouvellement urbain, rénovation de quartiers sensibles, en milieu rural, périurbain ou dans les grandes villes : tous les quartiers, quel que soit leur contexte social, économique ou environnemental on vocation à intégrer la démarche ÉcoQuartier.
Porté par le ministère du Logement et de l’Habitat durable, le label ÉcoQuartier se fonde sur 20 engagements rassemblés dans la Charte des ÉcoQuartiers. Ces 20 engagements pouvant s’appliquer à toute opération d’aménagement durable, indépendamment de sa taille et de son contexte territorial et géographique.
Démarche, processus et dimensions du label ecoquartier en 20 engagements.
Alors que les sceptiques pourraient penser que toutes ces mesures, très jolies sur le papier, sont plutôt de l’ordre du surréalisme, voire du « boboïsme », avec risque de greenwashing et d'opportunisme appliqués par des acteurs (publics ou privés) obéissant plus à un effet de mode qu'à une conviction réelle, il est une petite commune du Nord-Pas-de-Calais qui, irréfutablement, fait rimer utopie avec réalité.
Nichée au pied des anciens terrils, ces collines artificielles construites par l'accumulation des résidus miniers, la ville de Loos-en-Gohelle, frappée par la disparition de l'industrie minière et l'arrêt de l'extraction du charbon, a réussi le pari non seulement de faire revivre un territoire dévasté, mais aussi de devenir l'emblème réalisé de la ville de demain.
Au programme :
Depuis quinze ans, Jean-François Caron, maire vert au pays des "gueules noires" mène une expérience inédite et probante de "résilience écologique".
Alors qu'il aurait pu essayer d'attirer d'autres industries pour remplacer celle de la mine, reproduisant ainsi le même mécanisme aux conséquences humaines et environnementales, voire économiques impactantes, cet élu pas comme les autres a opté pour mener des programmes innovants relevant du développement durable, selon les principes d'action déclinés de la "déclaration de Bruntland" :
Jeremy Rifkin et Jean-François Caron, couverture du livre du journaliste Philippe Gagnebet
Pour conclure cet article, il nous a semblé intéressant de mentionner Construction 21, un portail d'information dédié aux professionnels du bâtiment et de la ville durable.
Née d’un projet européen, Construction 21 s’appuie sur la dynamique des réseaux sociaux pour diffuser l’information et les bonnes pratiques en accélérant les échanges entre les praticiens, institutionnels, chercheurs et enseignants de la filière.
Maître d'ouvrage, architecte, ingénieur, industriel, chercheur, asset manager, exploitant... à chaque métier son usage de Construction21 pour que chacun en tire son propre bénéfice tout en enrichissant l'outil commun.
Construction 21 a lancé le 15 mars 2017 au MIPIM (le salon qui réunit les acteurs les plus influents de tous les secteurs de l'immobilier professionnel), à Cannes, la 5ème édition de ses Green Solutions Awards. Un concours international de bâtiments, quartiers et infrastructures durables, organisé avec le soutien de l'ADEME et de la Global Alliance for Buildings & Constructions, qui vise à diffuser largement l'innovation afin d'accélérer notre transition vers un monde plus durable.
Alors que les votes sont ouverts jusqu'au 5 septembre, les lauréats seront dévoilés à Bonn, en novembre, à l'occasion de la Conférence des Parties sur le climat (COP23)
Avec les Green Building & City Solutions Awards, la plateforme souhaite inspirer tous les acteurs de la construction durable en accélérant la diffusion des bonnes pratiques et des nouvelles techniques :
Les projets dans la"catégorie quartiers" de cette année sont localisés à Lyon, Villeurbanne, Mantes-la-Jolie, La Réunion, Lille, Val de Reuil. Peut-être qu'un jour ils seront cités dans la liste des réalisations exemplaires, comme autant d'actions concrètes contribuant à limiter le réchauffement climatique en deçà des 2 degrés.
@ suivre...
Isabelle Camus est une passionnée des sujets qui font évoluer la société. Créatrice et rédactrice en chef du blog à succès Serial Blogueuse, elle est Community Manager et Responsable des relations presse pour le groupe Ashler & Manson.
Les lecteurs du journal régional Sud Ouest connaissent bien le nom de Guillemette Bardinet. Pendant près de 15 ans elle y a assuré la rubrique Dans La Maison de, un concept qu'elle a créé pour décrire le rapport affectif qu’une personnalité bordelaise entretenait av...
Dans sa volonté de rendre les questions, en lien avec l'immobilier, simples, claires, précises et à la portée de tous, les experts de Sitigeo.com, plate-forme innovante d'annonces immobilières gratuites géolocalisée entre particuliers et Ashler & Manson, courtier en pr...
Les experts de SITIGEO.COM vous proposent une série d’articles consacrée à la location immobilière dans son GUIDE DE LA LOCATION. Dans ce dossier consacré spécifiquement à la location, vous retrouverez ainsi quatre articles dédiés à différents thèmes de la location immo...